samedi 17 avril 2010

lettre au public

Ma vie, mon amour

A travers le détroit des guerres,
De ces êtres de folie qui génère
Un monde de gouffre sans soleil
Ni étoile

Mon amour, ma vie

Il y a des décennies que l'on crie,
Et tout ces cris sont pour l'amour, la vie
La beauté qui s'étiole
A l'humanité qui s'éteint à lui même
Et emportant toute une planète avec elle.
Les tableaux sont rouges, noires, déchirés.
La violence s'y éclatent en chamade,
Parfois en précision chirurgicale.
Les scènes de théâtres débordent de cris, de silences
qui vous brûlent les entrailles et vous
Font sentir tout les matins plus gris
Des corps s'y jettent, y glissent, y tremblent,
Cynique, anarchique, méthodique dans la souffrance
De l'être.
C'est des chagrins de pluie qu'ils creusent dans nos
Cœurs, à force d'être tant et tant de voix.


Mon cœur, ma vie

Je ne peux pas donner ainsi la Joie
Je ne veux pas t'offrir un collier de larmes
A serrer contre ton cœur.

Ma vie, mon amour

S'il est vrai que les oiseaux chantent moins
En ce printemps,
Ils chantent encore
Et je te les feraient écouter
Je te les ferais entendre de telle manière
Que ton cœur, ton âme, ton être
En vibrera de tant de beauté
Tant et tant que tu en découvrira
le soin de toi-même, un baume
A tout tes blessures.
Répis, rédemption
Et tu sauras que tant que vivra l'oiseau
La mer, la foret, tout être toute race
Tout te rappelleras combien tu est belle, tu es beau
Combien tu peux vibrer à tant de beauté
Combien ils sont un baume à ton âme,
A ton cœur, à ton être.
Tu gouteras cela parmi d'autre toi-même
Hommes et femmes, enfants
Et tu vibreras d'autant et d'avantage
Un cristal qui vibre est un cristal qui vibre
Cent et même deux, c'est tout un Monde qui vibre


Mon Amour, ma vie

Par amour pour toi, pour nous.

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